Ces symboles existent depuis le néolithique, bien avant la migration et l’arrivée des peuples celtes à l’ouest de l’Europe,
et se présentent sous plusieurs formes à travers le monde et les cultures.

La spirale évoque l’idée d’un principe sans fin ni commencement, d’une vie éternelle et d’une évolution continuelle et perpétuelle.

Le 3 est un principe de création, de dynamisme vital et de vibration rayonnante.
(Le 1 et le 2 s’unissent et fécondent le vide des possibilités infinies et en faisant naitre le 3)
Le « Triskel » représente donc aussi les cycles sans fin de la vie, sources de croissance et de transformation.
C’est un symbole actif, en lien avec le Soleil.

Dans le monde Celte la transmission d’aphorismes se fait à travers d’innombrables « Triades »,
couvrant tous les domaines (historique, moral, juridique, théologique, poétique, etc…)

Le « Triskel » est en relation avec toutes ces « Triades », ainsi que plus tardivement avec la « trinité » chrétienne.
Vie-Mort-Renaissance / Passé-Présent-Futur / Terre-Eau-Ciel / Corps-Cœur-Conscience Keugant-Abred-Gwenwed / Père-Fils-SaintEsprit / Ogma-Lug-Dagda / etc ….

Il existe plusieurs formes de Triskellion à travers le monde, en voici quelques exemples :

Le « gankyil »  ou « Anandachakra » (« Roue de la Joie » en sanskrit) est un symbole de l’énergie primordiale et de la béatitude.
Il représente l’unité et l’indivisibilité de toutes les philosophies et doctrine du Dzogchen.
(ensemble d’enseignements et de techniques d’éveil spirituel du bouddhisme tibétain, c’est une voie directe, située au-delà des causes et des effets.)

Au japon, le « Mitsudomoe » orne le fronton des temples shintos et boudhistes, ou les tambours de Taiko.

La « Triquetra » fut utilisée au départ comme élément d’enluminure, notamment dans le Livre de Kells.
Sa ressemblance avec le symbole « Valknut » et sa présence sur des pierres runiques, la rapproche également des traditions cultuelles germaniques du nord de l’Europe.

Dans le monde Celte la transmission d’aphorismes se fait à travers d’innombrables Triades, couvrant tous les domaines (historique, moral, juridique, théologique, poétique, etc…). Ainsi la « Triquetra » rassemble aussi des concepts trinitaires, qui se différencient selon la tradition à laquelle on se réfère:

Dans la tradition Celte, il sous-entend la tri-partie divine : Lug sous ses deux aspects que sont Ogma (côté sombre) et le Dagda (coté lumineux).

Aussi appelée « Nœud de la Trinité », cet entrelacement de trois « vesicae piscis » est ainsi devenu un symbole de la trinité chrétienne (Le Père, Le Fils et le Saint-Esprit). L’inscription du symbole dans un cercle renforçant l’idée de l’Unité au-delà de la différenciation inhérente à l’incarnation.

Pour les traditions modernes, « Pagan », « Wicca » et « Néo-Druidisme », elle représente les forces de « Vie, Mort, Renaissance » associées au Cycle de la Déesse, ainsi que les trois grandes Forces de la Nature « Terre, Mer, Ciel ».

Aujourd’hui, c’est une tradition pour les hommes d’offrir un bijou orné d’une « Triquetra » à leur partenaire, représentant les trois promesses d’une relation : Amour, Honneur et Protection.

Awen appelle à la connexion avec le Divin, à l’illumination spirituelle.
A ce propos, il est invoqué trois fois dans la tradition Néo-Druidique.

C’est un symbole d’Equilibre, représenté par le rayon central.

Un symbole d’Eternité et d’Unité, représentés par les 3 cercles et les 3 points.

Un symbole de Créativité, par la triple répétition des 3 motifs le constituant.

Il correspond à l‘inspiration divine du barde dans la tradition poétique galloise,  comme représentation des trois lettres primordiales (O I W)
d’un nom de Dieu ou « Incréé » qui aurait appelé le monde à l’existence par ce vocable.

Il est aujourd’hui le symbole de l’Ordre de Bardes, Ovates et Druides.

D’origine picte, ce motif est représenté au coeur dune croix celtique sculptée, située près d’une chapelle à Aberlemno en Ecosse.

Il contient 3 Triskels répartis dans 7 spirales.

Le nombre 3 représente un principe de création, de dynamisme vital et de vibration rayonnante.
(Le 1 et le 2 s’unissent et fécondent le vide des possibilités infinies et en faisant naitre le 3)
Le « Triskel » représente donc aussi les cycles sans fin de la vie, sources de croissance et de transformation.

Le « Nombre 7 » indique le sens d’un changement après un cycle accompli et d’un renouvellement positif.
Nombre parfait, symbole de l’abondance divine et de la perfection de la Plénitude , il exprime la totalité de l’Univers créé , de la création au sein de laquelle l’homme évolue.
Il serait aussi le chiffre de l’accomplissement dans l’espace-temps.

La «Croix Celtique », dont les branches dépassent hors du cercle, apparait en Irlande chrétienne à partir du VIIe siècle , ainsi que sur l’île de Bretagne.
Simple ornement dans les pays orientaux ou romains, elle devient en terre celte, une Haute Croix, monument auprès duquel, à défaut d’église, se célèbrent les cérémonies religieuses.

On trouve des symboles antiques de représentation proche, appelés roues solaires ou rouelles, dès le néolithique (6000 av. J.-C.).
Un symbole semblable existe également chez les Indiens des plaines d’Amérique. Il était très couramment utilisé et sert à orienter l’espace avant chaque cérémonie.
La roue solaire est aussi un symbole du bouddha Vairocana « Grand Soleil » ou « Grande Lumière », boudha central des écoles tantriques.

Dans la symbolique de la géométrie sacrée, la croix cardinale évoque l’incarnation et les différentes directions terrestres.
Incluse dans le cercle représentant l’Unité mais aussi le temps, elle devient la représentation de la matière incarnée, évoluant, se transformant dans le temps.
Expression unique et différenciée de l’Unité, elle évoque aussi les forces de dualité qui sous-tendent le choix, à l’instant présent.

Dans la symbolique chrétienne, le centre du cercle représente le Cœur du Christ, l’Amour divin, « la caritas » .
Ce centre qui reçoit et donne la vie dans un échange constant entre les humains et le divin, par la louange, les prières et la grâce divine.

Dans la symbolique celtique, les trois cercles représentent les différents niveaux de l’univers :• le chaos / l’Incréé de l’Univers / la Source (Keugant) ;
• le monde terrestre / expérience humaine (Abred) ;
• la lumière / le cercle final (Gwenwed).
Il s’agit d’une représentation de l’expérience humaine, de ses embûches, réussites et expériences, de son parcours vers Gwenwed.
Ce cercle final est le monde éternel où le temps et le changement sont « suspendus » , représentant le cinquième élément, l’éther, la lumière divine.

Au cœur de la croix présentée ici,
3 « Triskels » s’entrelacent dans une danse qui donne naissance à 7 autres Triskels plus condensés.

Le « Triskel » est une triple spirale contenue dans un cercle. Ces symboles existent depuis le néolithique, bien avant la migration et l’arrivée des peuples celtes à l’ouest de l’Europe,
et se présentent sous plusieurs formes à travers le monde et les cultures.

La spirale évoque l’idée d’un principe sans fin ni commencement, d’une vie éternelle et d’une évolution continuelle et perpétuelle.

Le 3 est un principe de création, de dynamisme vital et de vibration rayonnante.
(Le 1 et le 2 s’unissent et fécondent le vide des possibilités infinies et en faisant naitre le 3)
Le « Triskel » représente donc aussi les cycles sans fin de la vie, sources de croissance et de transformation.
C’est un symbole actif, en lien avec le Soleil.

Dans le monde Celte la transmission d’aphorismes se fait à travers d’innombrables « Triades »,
couvrant tous les domaines (historique, moral, juridique, théologique, poétique, etc…)

Le « Triskel » est en relation avec toutes ces « Triades », ainsi que plus tardivement avec la « trinité » chrétienne.
Vie-Mort-Renaissance / Passé-Présent-Futur / Terre-Eau-Ciel / Corps-Cœur-Conscience Keugant-Abred-Gwenwed / Père-Fils-SaintEsprit / Ogma-Lug-Dagda / etc ….

Le « Nombre 7 » indique le sens d’un changement après un cycle accompli et d’un renouvellement positif.
Nombre parfait, symbole de l’abondance divine et de la perfection de la Plénitude , il exprime la totalité de l’Univers créé , de la création au sein de laquelle l’homme évolue.
Il serait aussi le chiffre de l’accomplissement dans l’espace-temps.

C’est le nombre de l’initiation, c’est-à-dire l‘union du manifesté avec l’infini. Symbole de vie éternelle chez les Égyptiens: il symbolise un cycle complet, une perfection dynamique.
Chez les Indiens de la prairie et les Indiens Pueblo, le nombre sept représente les coordonnées cosmiques de l’homme.

En Afrique et pour les Bambaras du Sénégal, sept est un symbole de la perfection et de l’unité. Pour les Dogons, il est aussi le symbole de l’union des contraires et de la résolution du dualisme.